PORTRAIT
Faites connaissance avec des photographes pro
qui adorent DxO FilmPack 8
Antoine Mutin
Photographe de voyage et de portrait
Pour Antoine Mutin, la photographie est autant une question d'émotion que d'esthétique. Même si ses influences créatives sont vastes, il est souvent attiré par le caractère et les imperfections de l'argentique. « Aujourd’hui, tout le monde court après la perfection », dit-il. « Mais j’ai besoin que mon travail paraisse authentique, un peu imprévisible, comme s’il y avait quelque chose de vivant en lui. »
La pellicule comme alliée créative, pas comme une simple touche finale
Antoine n’utilise pas la simulation de film pour recréer le passé, il s’en sert pour donner de l’avenir à ses images. « Si je souhaite une atmosphère plus émotionnelle ou plus sombre, DxO FilmPack est un vrai compagnon à ma créativité. Il m’aide à prendre une direction », explique-t-il. Plutôt qu’un simple outil de finition, DxO FilmPack 8 fait partie intégrante de son processus de traitement, qu’il associe souvent à DxO PureRAW, pour produire un rendu à la fois intentionnel et original. « Je l’utilise dès le début de mon flux de travail, pour en explorer les possibilités et trouver l’inspiration. C’est une manière de prendre des décisions plus rapidement, et en toute confiance. »
DxO FilmPack 8
Retrouvez la magie intemporelle de l'argentique à l'ère du numérique
Une autre approche de la simulation de pellicule argentique
Antoine n’a pas toujours été convaincu par DxO FilmPack. « Au départ, je pensais que ce n’était qu’un autre lot de préréglages, au nom accrocheur », se souvient-il. « Mais quand j’ai commencé à le tester, aussi bien sur mes projets personnels que professionnels, j’ai compris qu'il agissait au plus profond de l’image, et ne se contentait pas de poser quelque chose dessus. » Cette distinction, entre simple simulation et véritable émulation, change tout. « Ça ne semble pas artificiel. On a l’impression que ça fait partie intégrante de l’image. »
Des outils qui stimulent la créativité
Parmi les fonctionnalités de FilmPack, ce sont la séparation du grain et Time Machine qui inspirent le plus Antoine. « Pouvoir choisir le grain indépendamment du film, c’est idéal, ça me permet d’obtenir exactement le rendu que je souhaite », dit-il. Quant à Time Machine, il ne l'utilise pas sur chaque projet, mais quand il lui faut un rendu précis, il devient indispensable. « Si j’ai une référence visuelle en tête, comme l'aspect d’une vieille pellicule ou d’une époque particulière, Time Machine m’aide à y arriver rapidement. »
Mélanger la liberté numérique avec l'esprit argentique
L’installation d’Antoine en Corée du Sud a marqué le début de son voyage avec la photographie argentique. « Là-bas, il était particulièrement facile et abordable de photographier et de développer des pellicules, j’ai donc enfin eu l’occasion de m’y plonger complètement », raconte-t-il. Mais avec la hausse des coûts et une souplesse limitée, l’équilibre entre numérique et argentique est devenu essentiel. « J’adore l’argentique, mais FilmPack me permet de retrouver la même sensation organique dans mon travail numérique. Je profite des sensations de la pellicule, avec la liberté de photographier autant que je le souhaite. »
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NOIR&BLANC
Peter Forsgård
Photographe urbain
professionnel
Pour Peter Forsgård, la photographie ne se résume pas à la précision de la technique, il s’agit également de retrouver le caractère, la nostalgie et la sensation physique que seule la pellicule peut offrir. « J’ai commencé avec l'argentique dans les années 1980, cette esthétique fait donc partie de mon ADN », dit-il. « Aujourd'hui, quand je photographie en numérique, je souhaite malgré tout retrouver cette douceur, ce grain, cette ambiance, quelque chose d'à la fois réel et légèrement imparfait. »
Un retour à l’esthétique intemporelle de la pellicule
Le retour de Peter à l’argentique a commencé plus de dix ans après son passage au numérique. « Au début, j'appréciais le retour instantané que le numérique me donnait », explique-t-il. « Mais 10 ou 15 ans après, j’ai ressenti l’appel de l'argentique. Il me manquait, avec son rendu particulier et ses imperfections qui donnent une âme à l’image. » DxO FilmPack 8 lui permet de retrouver cette atmosphère dans son travail numérique. « Tout est une question d'état d'esprit, le numérique est parfois trop net, trop propre. FilmPack donne à mes images cet aspect naturel qui paraît plus authentique. »
Un chemin plus rapide vers l'image finale
Pour Peter, DxO FilmPack 8 c’est aussi une question de rapidité. « Comme j’ai grandi avec l'argentique, je sais exactement à quoi ressemblent la Tri-X ou la Kodachrome », explique-t-il. « Quand je photographie, j’ai souvent l’image finalisée en tête, et FilmPack m’y amène beaucoup plus vite. Les rendus sont comme un raccourci, ils me donnent une longueur d’avance et me permettent de me concentrer sur l'atmosphère et les petits détails, sans passer des heures à recréer, à partir de zéro, le rendu de ces pellicules légendaires. »
DxO FilmPack 8
Retrouvez la magie intemporelle de l'argentique à l'ère du numérique
Nostalgie, ambiance et grain qui racontent une histoire
Pour Peter, le rendu de la pellicule n'est pas qu'une question de style vintage. « Il s'agit du grain, des petites imperfections qui donnent vie à la photo », dit-il. « Le bruit numérique ne me dérange pas. C'est comme du grain argentique pour moi. Ça fait partie du récit. » Il apprécie tout particulièrement le mode Time Machine de DxO FilmPack, qu’il considère à la fois comme un outil créatif et pédagogique. « On découvre, au travers de la pellicule, l’esthétique de différentes époques. Cela influence vraiment la manière de photographier et de retoucher. »
Trouver la liberté dans l’équilibre entre numérique et argentique
En combinant DxO PureRAW avec FilmPack, Peter profite du meilleur des deux mondes. « Parfois, je photographie à haute sensibilité ISO, je débruite l’image avec PureRAW, puis, avec FilmPack, je donne l’aspect d’une pellicule ISO 25 », dit-il. « C’est quelque chose qu’on ne peut pas faire avec une vraie pellicule. Cela donne une grande liberté : l’âme de l’argentique avec toute la souplesse du numérique. »
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MODE
Karim Roland
Photographe de mode et de portrait
Depuis plus de 20 ans, Karim Roland réalise des portraits et des images de mode qui nous saisissent en mêlant l'élégance intemporelle et l'esthétique inimitable de l'argentique. Bien qu’il travaille aujourd’hui essentiellement en numérique, ses racines sont solidement ancrées dans la photographie argentique, une expérience qui façonne encore et toujours sa vision créative. « J’ai tout appris avec l'argentique », dit-il. « Développer à la main, comprendre comment exploiter les couleurs particulières de la pellicule, c’est ce qui m’a fait tomber amoureux de la photographie. »
L'argentique comme signature, pas comme une mode
Pour Karim, l'argentique est bien plus qu’un rendu nostalgique. « La pellicule vous apporte cette richesse dans les teintes de la peau et dans les dégradés, que le numérique a bien du mal à reproduire », explique-t-il. « Il y a cette texture, cette authenticité que j’adore. »
La simulation argentique lui permet de maintenir une cohérence dans son travail. « Si je fais une séance avec de la pellicule et du numérique, je veux que les images semblent avoir la même origine. FilmPack permet ainsi de donner à mes photos numériques cette même identité argentique. »
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Un flux de travail pensé pour une qualité maximale
Travailler avec les fichiers Fujifilm, réputés plus complexes à traiter, a fait de DxO PureRAW une composante essentielle du flux de travail de Karim. « Tout passe d’abord par PureRAW. Il m’aide à extraire la meilleure qualité possible de mes fichiers RAW », dit-il. Ensuite, il utilise DxO PhotoLab pour les réglages d’exposition et de contraste, avant d’appliquer son rendu argentique signature avec FilmPack.
« FilmPack intervient vraiment à la fin. Une fois que tout est calé techniquement, il ajoute cette touche finale d’émotion. »
Une véritable émulation, et pas un simple filtre
Pour Karim, la clé d'une bonne utilisation de DxO FilmPack 8 est de comprendre qu'il ne s'agit pas d'un simple raccourci. « C’est ce qui le rapproche le plus de l’argentique, mais il existe différentes manières de l’aborder. On peut rester fidèle à la pellicule d’origine, par exemple, utiliser la Portra 160 par beau temps, la Portra 400 en faible lumière, ou on peut inverser. Parfois, j’applique le rendu Portra 400 à un cliché en pleine lumière, puis j’affine jusqu’à ce que ça fonctionne. Cette souplesse ouvre de vastes possibilités créatives. »
Préserver l’esprit argentique dans un monde numérique
Ce qui compte le plus pour Karim, c’est que l’image finalisée regorge de vie. « Pour moi, ce qui rend la photographie intéressante, c'est la texture et toutes ces imperfections. FilmPack me permet de retrouver cette sensation physique, même lorsque je photographie en numérique. Il s’agit de rester fidèle à l’émotion dégagée par l'image, et de lui donner un rendu qui paraît intemporel. »
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Pour les photographes passionnés.